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Oganes Edouard Dilanyan MD, PhD
Chirurgien-urologue-oncologue

Néphroptose

Temps de lecture: 4 minutes
Dans cet article

Une néphroptose ou un rein descendu – c'est une maladie très répandue à présent qui se caractérise par une mobilité anomale et par une position basse du rein. Parfois, assez rarement, cette maladie peut provoquer des douleurs dans les lombes, une augmentation de la tension artérielle, ainsi qu'une apparition du sang dans les urines, des calculs rénaux ou d'un pyélonéphrite.

Néphroptose ou rein descendu

Néphroptose, qu’est-ce que c’est? Pourquoi il y a des fois où elle n’aboutit à aucun problème, mais dans d’autres cas – elle est accompagnée de plusieurs autres phénomènes: douleurs, formation des calculs dans les reins, augmentation de la pression artérielle, voire une perte du rein? Dans certains cas le patient souffrant d’une néphroptose suit en vain des traitements contre des pyélonéphrites récidivantes, et il a une colique rénale périodique, avec une déjection de calculs. Il commence à avoir des douleurs lombaires après une marche à pied qu’il attribue à la colonne vertébrale… Dans les cas plus graves les jeunes souffrant d’une néphroptose sont obligés de prendre des médicaments baissant la pression artérielle.

Traitement de la néphroptose

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Opération de la descente du rein par laparoscopie – ou une néphropexie laparoscopique – c’est un standard moderne du traitement de la descente du rein. Les opérations cavitaires et par laparoscopie consistent en la fixation du rein dans sa place normale. Pourtant, contrairement à une opération cavitaire, on n'a pas de cicatrices et d'inflammation suite à une opération par laparoscopie de la descente du rein, on la supporte mieux et, aussi, on n’a pas besoin d'un mois d'hospitalisation.
La durée de l'hospitalisation après une opération de la descente du rein par laparoscopie est de 2 jours. Ensuite, on est en mesure de reprendre sa vie habituelle de tous les jours.

Une patiente de 23 ans, avec des plaintes de douleurs lombaires (surtout du côté droit), d'une augmentation périodique de la pression artérielle jusqu'à 150/110, des attaques fréquentes de pyélonéphrite du côté droit. Contre tout cela elle suit un traitement antibactérien, et il y a toujours du sang dans son analyse d'urine...

Des mots secs, des phrases courtes dans sa carte ambulatoire. Et j'ai devant moi une jeune fille mince qui a peur de tomber enceinte, qui a peur d'un surrefroidissement minimal, qui a peur de marcher un peu plus longtemps que d'habitude et qui porte déjà dans son sac des médicaments contre la pression. On ne dit même pas un seul mot sur une vie normale.

On ne voit pas la forêt derrière les arbres

Symptômes d’une descente du rein

Malheureusement, la descente du rein n'a aucun symptôme évident. Les douleurs lombaires sont en général attribuées à l'ostéochondrose de la colonne vertébrale, surtout, vu le fait qu'on les sent surtout dans la position couchée; l'augmentation de la pression artérielle est attribuée aux stress et à l'hérédité; les inflammations fréquentes du rein, les pyélonéphrites sont considérées comme résultats de refroidissement... Et comme le patient est dans la position couchée lors d'un examen d'ultrasonographie, le rein regagne sa place normale et l'on remplit le protocole de cet examen avec les mots suivants: «la position des reins est normale».

Une histoire ordinaire sur la descente du rein

... – Et lors de l'examen d'ultrasonogaphie, étiez-Vous en position debout ou couchée?
- J'étais en position couchée... Sur le côté, si je ne me trompe pas... On m'a dit qu'il y avait des symptômes de pyélonéphrite chronique, et c'est tout. Pas de tumeurs et pas de calculs dans les reins. Mais on ne m'a pas expliqué d'où venaient ces pyélonéphrites. J'ai toujours du sang dans l'urine, le taux d'érythrocytes n'est pas moins de 20-30, j'ai les lombes qui me font horriblement mal... Le gynécologue m'a recommandé une grossesse... J'ai essayé presque tous les types d'antibiotiques contre la pyélonéphrite...

«Comprendre de quelle maladie s'agit-il – c'est la moitié du traitement»
Hippocrate

Conséquences et stades de la néphroptose

Descente du rein
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Les conséquences d'une descente du rein sont conditionnées par deux facteurs: troubles du reflux urinaire et altération du flux sanguin.
Présentons les menaces auxquelles on s'affronte: en cas d'une descente du rein, celui-ci n'a qu'une structure qui le soutient – c'est sa propre artère. Cette artère se détend. En cas de distension, comme en cas de tout autre tube, le diamètre de l'artère rénale diminue et, en conséquence, le rein reçoit moins de sang en cas d'une néphroptose. Le rein essaie de récupérer sa portion de sang, en rejetant une substance spéciale – «rénine», qui augmente la pression artérielle.
L'autre problème, ce sont les troubles du reflux urinaire. En cas d'une descente du rein, l'uretère se replie en formant des «coudes» par lesquels le passage du flux urinaire s'avère difficile. Une stagnation de l'urine – ce sont des conditions parfaites pour les bactéries. Celles-ci, n'étant pas nettoyées par le flux urinaire, se mettent à se reproduire et une pyélonéphrite grave surgit. Et cela aboutit à une formation des calculs.

Une histoire ordinaire sur la descente du rein

- Mettez-Vous debout, en me tournant le dos, s'il Vous plaît. – Je mets le capteur ultrasonore sur le dos, pourtant, je ne vois pas le rein dans la place où il devrait être normalement. Je passe le capteur vers le bas, – Voilà, c'est bien... Inspirez et retenez le souffle. Ah, Vous avez une descente du rein droit, si l'on disait de manière scientifique: Vous avez une néphroptose. Probablement, c'est elle – la cause de tous vos problèmes.
- Oui, on me dit depuis longtemps que j'ai une descente du rein droit. Mais je ne comprends pas comment elle pourrait être liée à ces inflammations permanentes et à cette augmentation de la pression artérielle?
- Regardez, lors d'une descente du rein, on a des troubles du reflux urinaire, car il y a des «coudes» qui apparaissent suite au repliement de l'uretère. Ainsi, toute bactérie a des conditions parfaites pour se reproduire. Vous voilà la cause de la pyélonéphrite. En plus, les troubles du reflux urinaire aboutissent à une formation des calculs des reins. De l'autre côté, lors de cette maladie, on dirait que le rein est suspendu de sa propre artère. Celle-ci se détend, se rétrécit et, par conséquent, il y a moins de sang qui entre dans le rein. Dans les conditions décrites au-dessus, le rein se met à produire une substance spéciale – rénine, qui augmente la pression artérielle. Le rein s'écrie: «Donnez-moi plus de sang!».
Il existe trois stades de néphroptose. En cas du premier stade le rein est descendu à une longueur de plus de 1,5 vertèbre. En cas du second stade – on a une descente du rein de plus de 2 vertèbres, et en cas du troisième stade – c'est une longueur de plus de 3 vertèbres. Cependant, le stade de la néphroptose n'est pas toujours en corrélation avec les troubles des fonctions du rein.

«C'est toujours le patient qui paie la faute du médecin. Et il paie toujours très cher»
Professeur Alyaev

Diagnostic de la descente du rein

Le diagnostic d'une descente du rein suppose toujours certaines difficultés. Il faut se rendre compte que le patient pourrait souffrir d'une néphroptose et, pour ceci, il faut faire une ultrasonographie en position debout. Dans une position couchée le rein récupère sa place habituelle. Un diagnostic final de descente du rein n'est possible qu'après la réalisation d'examens radiologiques spéciales – urographie et urographie excrétoire.
Cet examen consiste à faire une injection intraveineuse de substance spéciale que les reins sortent, sans aucune influence sur l'organisme. Nous obtenons ainsi des images des reins dans diverses positions: couchée sur le ventre, couchée sur le dos, debout en inspirant, debout en expirant. Cet examen permet aussi d'établir la capacité fonctionnelle des reins.

Une histoire ordinaire sur la descente du rein

- Il est indispensable que Vous fassiez une urographie et une urographie excrétoire. D'ailleurs – il est nécessaire que Vous les fassiez en position aussi bien debout que couchée.
- Mais, attendez, Vous n'avez pas fait d'ultrasonographie des reins? On y voit tout...
- Une ultrasonographie n'est pas une méthode unique de diagnostic d'une néphroptose. Nous avons besoin de comprendre comment le rein fonctionne-t-il, s'il ne ralentit pas en faisant sortir la substance opaque, s'il n'y a pas d'autres causes de plaintes. Aussi, nous avons à préciser le stade de la néphroptose que Vous avez. Ce n'est que l'urographie qui répond à toutes ces questions. Avez-Vous une allergie à l'iode?
- Je crois que non... Et alors, on va me mettre de l'iode?
- Ce n'est pas cela. L'urographie suppose une injection intraveineuse d'une substance spéciale qui contient de l'iode. C'est une substance radio-opaque – c'est-à-dire, on la voit bien sur les images radiologiques.
Ce sont les reins qui la sortent de l'organisme, et c'est pour cette raison qu'elle a des possibilités diagnostiques aussi riches: la vitesse de son flux en sortant de l'organisme parle de la fonction des reins, nous obtenons des images des bassinets, des calices et des uretères, nous sommes en mesure de définir les troubles du reflux urinaire et, enfin, voir clairement la cause de ces troubles. En prenant ces photos, en position debout et couchée, nous pourrons voir le déplacement du rein d'après la position du corps et, par conséquent, établir s'il y a une descente du rein et son stade.

«Il faut réfléchir à chaque fois, en proposant une opération: l'aurais-tu proposée à un de tes proches?»
A.V. Stépanyan, gynécologue oncologue

Traitement de la descente du rein

Le traitement de la descente du rein – c'est un problème compliqué. Il arrive souvent qu'on ne révèle aucune perturbation chez le patient, cependant il a une descente du rein: pas de douleurs de reins, pas de sang dans son urine, la pression artérielle est en norme et le patient n'a jamais souffert de pyélonéphrites. Cela signifie que le rein n'est atteint d'aucune maladie et on n'a pas besoin de le guérir. Il ne reste qu'examiner le patient une fois par an et de lui faire des recommandations en matière du régime qu'il doit suivre.
La situation est tout à fait différente lorsqu'une néphroptose détruit la vie du patient: des douleurs du rein, du sang dans l'urine, des inflammations fréquentes du rein... ce qui restreint sa vie active. C'est en ce moment que le problème du choix d'un traitement surgit. Pourrait-on guérir ce patient de manière thérapeutique: par exemple, lui recommander de faire un régime visé à une augmentation de la masse du corps ou lui prescrire un complexe spécial d'exercices physiques? Lui serait-il utile de porter un bandage, en cas d'une néphroptose? Ou, peut-être, la maladie a progressé de manière qu'une intervention chirurgicale de la néphroptose soit devenue indispensable?

Une histoire ordinaire sur la descente du rein

- Voyons, voyons... – Je regarde les images et je me rends compte que ni la gymnastique médicale, ni le bandage n'y feront rien. Le rein est descendu d'une hauteur de trois vertèbres, le tiers de la partie du bas s'est retrouvé dans le pelvis, si l'on Vous examine en position debout. – Alors, je Vous recommanderais une intervention chirurgicale.
- Je savais que c'était ça, – dit-elle la patiente d'un air condamné, – c'est tout à fait comme dans le cas de ma tante.
- De votre tante?
- Oui, la sœur de ma mère... elle avait une descente du rein. On lui avait fait une opération. Et c'est devenu le cauchemar de sa vie. Elle a passé dans son lit trente jours, elle avait des douleurs pénibles. Son mari l'a quittée à cause de sa cicatrice. Et 15 ans après l'opération une hernie a surgi sur la place de cette cicatrice. Et on l'a opérée cette hernie 7 fois. Je ne veux pas d'opération.
- Ou, autrement dit, Vous n'auriez pas voulu subir une opération pareille, c'est ça?
- Oui. Il vaut mieux prendre des pilules pendant tout le reste de ma vie que de souffrir comme elle.
- Voyez-Vous, à présent, on ne réalise presque pas d'opérations ouvertes. Vous oubliez qu’il existe la chirurgie par laparoscopie? On n’a que trois perforations au lieu de la grande incision. Et leurs dimensions ne dépassent pas les 5mm.
- Moi, j'ai toujours pensé qu'une laparoscopie – c'est quand on examine les ovaires.
- Ce n'est pas seulement ça. A présent, il y a un très grand nombre de chirurgies réalisées par laparoscopie. Et il y a des chirurgies qu'on ne réalise que par laparoscopie. Par exemple – la mise en place normale du rein et sa fixation en cas de néphrostose.
- Qu'est-ce que cela signifie, une «fixation du rein»?
- Il y a une bandelette spéciale qu'on installe sous le rein. Elle est fixée d'une telle façon qu'on dirait que le rein est suspendu dans un hamac. La bandelette soutient le rein et ne permet pas qu'elle descende plus bas de son niveau physiologique. Le flux urinaire est normalisé, par conséquent, l'urine ne reste plus stoppée dans le bassinet, et les bactéries n'arrivent pas à se reproduire. Alors, plus de pyélonéphrites. L'artère regagne sa position normale, son diamètre est déjà en norme et l'on n'a plus de problèmes de pression artérielle.
- Et les cicatrices? On en a après la chirurgie? Et combien de temps je passe à l'hôpital?
- 6 mois après la chirurgie, si Vous cherchez les cicatrices et Vous ne les trouverez pas. Vous serez hospitalisé 2-3 jours, au plus.
- Et ensuite, on m'enlève cette bandelette?
- Non, elle restera dans Votre organisme, c'est à vie.
- Et moi, je la sentirai?
– Bien sûr que non. Vous ne sentez pas, par exemple, un plombage dentaire?
- Docteur, dites-moi, s'il Vous plaît... Est-ce que je pourrais accoucher?
- Bien sûr. Plus de problèmes de pyélonéphrites, de pression artérielle... vous n'avez pas d'autres contre-indications, n'est-ce pas?
- Et aussi... – La patiente, confuse, détourne le regard, – Est-ce que je pourrais faire des sauts en parachute? C'est mon rêve. C'est idiot, je comprends... Mais si cette bandelette se détachait?
- Mais ce n'est pas du tout idiot. Un mois après cette chirurgie une capsule conjonctive solide se forme autour du rein – c'est un appareil de soutien presque naturel pour le rein. Vous pouvez sauter en parachute autant que Vous le voudrez.

Opération de la néphroptose

Néphropexie – c'est l'opération de la descente du rein. Lors de cette opération on passe une bandelette spéciale sous le rein et on fixe celui-ci. En conséquence, on dirait que le rein s'est retrouvé dans un hamac spécial qui restreint l'avancement du rein vers le bas. L'artère ne se détend plus, l'uretère ne se plie plus. Plus de problèmes de pression artérielle, plus de douleurs et plus de pyélonéphrite. Le principal c'est que si avant on avait besoin d'une grande incision de 20cm pour réaliser ce genre de chirurgie et qui était accompagnée de douleurs, d'une cicatrice laide et d'autres problèmes, à présent, il est déjà possible d'effectuer cette chirurgie par laparoscopie – en ne faisant que trois perforations dont la dimension ne dépasse pas les 5mm. Le patient rentre chez lui le jour suivant, sans un moindre inconfort, sans douleurs. 2-3 semaines après l'opération, le patient peut reprendre sa vie active, y compris – pratiquer le sport.

Une histoire ordinaire sur la descente du rein

... J'ai eu tort de lui permettre de sauter en parachute. J'aurais dû la dissuader. C'est pour ça que j'ai reçu d'elle le courriel suivant: «Cher Docteur Dilanyan. Bonjour. Le saut en parachute n'a eu aucune influence sur mon rein, je ne le sens même pas. Pas de pyélonéphrite, la pression est en norme. Hélas... vous auriez dû m'installer une bandelette pareille dans le pied. Je suis à l'hôpital: distension grave de l'articulation tibio-tarsienne. N'auriez-Vous pas un spécialiste de traumatismes parmi vos proches?».

Nos avantages

Approche professionnelle: traitement moderne de maladies oncologiques conformément aux recommandations de l’Association Européenne d’Urologie.

L'équipe: une équipe d'onco-urologie scientifique-clinique spécialisée.

Conseil de médecins spécialistes: discussion commune au sujet de chaque patient avec un oncologue, un radiologiste et un spécialiste de chimiothérapie, afin de pouvoir choisir une stratégie correcte de traitement.

Equipement: utilisation des équipements de la marque «Karl Storz», «Covidien» et «Philips Medical» pour un diagnostic précis et un traitement efficace.

Confort: manque de queues dans l'accueil et dans l'hospitalisation de classe premium.

Sécurité: utilisation de méthodes recommandées par les associations professionnelles telles  que l’EAU et l’AAU.

Résultat: diagnostic précis et traitement efficace des maladies oncologiques.

Aussi, une certification GCP sur les standards de la qualification la plus haute de diagnostic en de traitement.

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Si Vous avez besoin d’un traitement de la descente du rein à Moscou, contactez-nous. Nous allons organiser Votre hospitalisation le jour de Votre arrivée, passer tous les examens nécessaires, réaliser Votre opération 1-2 jours après Votre arrivée. Vous pourrez rentrer chez Vous 2-3 jours après.

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Avis
Néphroptose
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Lyudmila M.

Avis publié sur le site www.prodoctorov.ru

Un chirurgien superbe! J'ai été opérée le 7 août. Diagnostic: descente du rein – 9cm. Une sensation d'inconfort, douleurs dans les côtes. Je vivais comme ça pendant un an. J'étais dans la recherche d'un bon chirurgien sur Internet. Et je suis très contente d'être venue consulter justement Docteur Dilanyan. Après un examen ultrason, il a dit qu'il fallait m'opérer. Il m'a tout expliqué: les dimensions du rein diminuent, le flux sanguin se perturbe. Il a effectué une excellente chirurgie! J’ai appris à l’hôpital, qu’il était l’un des chirurgiens peu nombreux qui s'engage à des opérations que beaucoup de chirurgiens refusent. Et mon problème à moi, ce n'était qu'une simple opération pour lui! Un mois et demi ont passé, je me sens très bien. Plus de douleurs, je commence même à oublier tout cela, bien que j'aie besoin de prendre soin de moi-même. Un mois après je suis venu à une consultation: tout était parfait. Moi-même, je sens que tout va bien. Je recommande le Docteur sans aucun doute! C'est un chirurgien très instruit! On peut sans doute lui faire confiance. Je remercie de tout mon cœur! Donc, à tous ceux qui sont dans la recherche d'un bon chirurgien, je conseille de s'adresser à Docteur Dilanyan: il va faire de son mieux pour Vous aider. Grand merci aussi à Victoria, l'assistante du Docteur! Je la fatiguais avec toute sorte de questions: elle était toujours en contact, à tout moment!

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Antonina V.

Avis publié sur le site www.prodoctorov.ru

Ce sont mes amis qui m'ont conseillé d'aller à une consultation chez Oganes Dilanyan, pour le diagnostic «Néphroptose de 23 stade» qu'on m'avait établi. Je ne savais pas du tout ce que je devais faire dans ce cas. Certains disaient: «Il n'y a rien d'affreux, il y a plein de gens qui vivent avec, vivez tranquillement Votre vie», les autres recommandaient obligatoirement de me faire faire une néphropexie – une opération de fixation du rein descendu. Compte tenu des résultats de l'examen sono et de Röntgen, docteur Dilanyan m'a prescrit une opération, car je projetais d'avoir un enfant dans le futur, et une telle position du rein aurait pu aboutir à une pyélonéphrite et à d'autres conséquences indésirables. Il m'a tout expliqué, et je suis sortie de cette consultation avec un sentiment que c'était quelqu'un qui savait très bien les choses et en qui on pourrait avoir confiance. J'ai donné mon accord à cette chirurgie, sans réfléchir longtemps. Je suis entrée à l'hôpital une semaine après. Tout a bien passé. Je suis entrée lundi et on m'a fait sortir vendredi. Avant-hier on m'a enlevé les sutures, un certain temps après – je serai déjà en mesure de reprendre ma vie ordinaire. Ce qui m’a plu beaucoup, c’est surtout l’attitude du docteur envers ses patients: très attentif, fiable, un professionnel de son métier. Je continue à me faire consulter chez lui et je n’ai jamais regretté de l’avoir choisi comme celui qui m’aurait opérée. Bien que les infirmières de son service ne soient pas trop débrouillardes, le docteur – c’est l’un des meilleurs du domaine de l’urologie à Moscou.

 

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Cathérina

Avis publié sur le site prodoctorov.ru
Je souffrais d'une néphroptose du 2-3 stade. Il y a deux ans, après une pyélonéphrite on m’a établi un diagnostic: descente du rein droit à 8cm. Oui, il était écrit dans les recommandations du docteur-urologue: prendre du poids (je pesais à l’époque 60kg contre les 170cm que je mesurais), porter un bandage, fortifier les muscles du dos et on pensait me faire une néphropexie. En deux ans j'ai pris 10kg, je faisais des exercices de dos, mais le rein est descendu encore 1cm de plus en un an. Des douleurs dans le côté droit. Il me semblait que tout me faisait mal: lombes, ovaires, uretères et, durant toute cette période, j'étais déjà en mesure de définir la place exacte de tous mes organes. L'hiver je portais des pantalons en néoprène, ayant peur de prendre froid, car à chaque fois un petit refroidissement aboutissait à une pyélonéphrite. Après cette complication, je me suis mise à rechercher un chirurgien, à lire des forums, à me balader sur les sites des hôpitaux de Moscou etc. J'ai retrouvé beaucoup de choses qu'on effectuait un peu partout, mais on procédait de diverses manières: on cousait, on faisait remonter le rein par un crochet, on le faisait pendre sur un clamp avec une grille.  J'avais une approche très sceptique envers tout cela, mais mon choix est tombé sur l'hôpital N24. Il occupe la première place par la cote de popularité, j'ai trouvé une quantité énorme d'avis positifs. Il y a une semaine on m'a fait cette néphropexie par laparoscopie que j'avais tant attendue. C'est Oganes Dilanyan – chirurgien-urologue, qui me l'a faite. Il a son site Internet à lui où il y a une vidéo de cette intervention (si Vous avez des nerfs fragiles, il vaudra mieux de ne pas la regarder). Mais ce dont j'avais peur le plus, c'est que je pensais que je ne me débarrasserais pas de cette douleur dans le côté droit. En vain – je m'en suis débarrassée. Bien sûr j'ai des douleurs suite à l'intervention, mais c'est supportable, cela passe en 2-3 jours. Dans un premier temps, on a des douleurs dans la zone des trous, du dos. Comme l'intervention est effectuée sur le côté, on a après des douleurs des muscles du dos (pour eux, le fait de porter le rein sur eux-mêmes devient une habitude), mais c'est vraiment rien par rapport de ce que j'avais avant. A présent, je me suis débarrassée de presque tout. Grand merci.

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