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Oganes Edouard Dilanyan MD, PhD
Chirurgien-urologue-oncologue

Les amateurs de la bière auront une vie sexuelle bien agitée

Récemment Kat Van Kirk – sexologue et psychologue de famille américaine renommée, a fait une déclaration scandaleuse. Selon elle, on pourrait sûrement dire que la bière est une poison d’amour. Dans les pages de son livre Kat fait des raisonnements diffus en se référant aux données de certains épidémiologues italiens.
Avant la venue de Kat dans le domaine des articles sur la vie politique et sociale, personne ne se doutait même pas des «puissances cachées» de cette boisson. L’éjaculation rapide, la libido basse et la préparation physique faible – on aurait pu se débarrasser de tous ces problèmes si l’on avait eu une tasse de bière devant soi.
Dans son élan artistique Kat va contre les truismes. Par exemple, elle ne se gêne pas du tout que la consommation régulière de la bière altère le fonctionnement du système de sécrétion urinaire en provoquant une inflammation de la vessie. Et le temps que la société scientifique s'indigne, Kat continue à distribuer des autographes et de signer des livres.

ACTUALITES

Le cancer de la prostate est la seconde cause de décès par cancer chez l'homme, après le cancer du poumon. La mortalité consécutive aux tumeurs de la prostate est néanmoins en baisse régulière depuis les années 2000 en raison de l'amélioration de sa prise en charge.

La polykystose rénale autosomique dominante est la première cause de maladie génétique rénale pouvant aboutir à une insuffisance rénale chronique. Elle atteint en France environ 1 personne sur 1000. Cette pathologie est due à une mutation de deux gènes codant pour des polycystines (PKD-1 et PKD-2) qui régulent le développement des tubules rénaux et de la vascularisation rénale. Elle entraîne la formation de multiples kystes rénaux, parfois très volumineux, et peut être responsable de possibles complications urologiques (hématurie, surinfection des kystes, lombalgies, lithiases…) bien connues des urologues.

-    Il ne faut pas, Dilanyan, ne t’attelle pas.
-    Elle n’a que 32 ans.
-    Elle est déjà morte, Dilanyan. Bien qu’elle marche, bien qu’elle respire… elle est condamnée.
-    Je le sais.
-    Alors, refuse. Elle ne veut pas devenir handicapée. En plus, elle est médecin, elle-même.
-    Tu oublies que c’est moi qui t’ai raconté tout cela?
-    Refuse-la. Envoie-la chez les spécialistes de chimiothérapie.
-    Elle n’a que 32. Elle les a déjà vus. Il n’existe pas de schémas pour cela. Elle est allée même voir les spécialistes de radiothérapie. Eux non plus n'ont rien proposé. Et elle a deux enfants.